8. l'extension de l'influence de l’Union sur le développement des études
sociales chrétiennes.
« Le Bureau de l’Union s’est réservé ces deux dernières questions et a
proposé à l'examen des questions à l'étude les commissions suivantes :
I. Regime corporatif : sous la présidence du Comte A. de Mun et de
Monsieur Helleputte ; rapporteur Monsieur Milcent.
IL. Le salaire : sous la présidence du Baron de Wamboldt et de Monsieur
Python ; rapporteurs le Comte de Kuefstein et M. l’abbé Jaccoud.
III. Regime agraire : sous la présidence du Comte de Roquefeuil et du
Comte Médolago ; rapporteur Monsieur Lorin.
« M.M. les rapporteurs et M.M. les secrétaires des commissions voudront
bien remettre au fur et à mesure leurs travaux au R.F. Jaquet, qui les conservera
aux archives. »
« Les séances générales se tiendront sous la présidence de S.G. Monseigneur
l’Evêque : Le procès-verbal en sera établi par Monsieur Lorin. »
« L'assemblée voudra sans doute connaître maintenant de la bouche du
Secrétaire des Etudes, la liste des travaux qui lui ont été fournis ; et de celle de
notre dévoué archiviste-adjoint le compte des souscriptions qu'il a recueillies
pour couvrir les frais correspondant à la reproduction de ces travaux et à la
tenue de la Conférence ».
Le Comte Kuefstein secrétaire des études fait connaître les encouragements
personnels qu'il a reçus du Saint Père lorsqu'il a eu l’honneur de lui apporter
le compte-rendu de notre dernière réunion. Monseigneur clot la séance en
rappelante la nécessité de garder le silence sur le nom des membres de la
Conférence et sur leurs travaux.
2°™e SEANCE DU 10 OCTOBRE
PRESIDENCE DE SA GRANDEUR MONSEIGNEUR MERMILLOD
Le bureau est composé comme le matin.
Présents : les mémes que le matin et en plus M.M. le Comte de Mun,
Helleputte, Collinet, Ancel,'! le chanoine Pellerin.”
Monseigneur annonce l’arrivée de l’abbe Winterer'” qui a accepte son
invitation d’assister aux séances de cette année. Il souhaite la bienvenue à
Messieurs Collinet et Helleputte.
Monsieur Collinet invité par sa Grandeur a donné à l'assemblée des détails
sur le Congrès de Liège, déclare qu’il est vraiment l'oeuvre de la Présidence, et
rend hommage à celui qui en a été l'instrument, à sa Grandeur Monseigneur
Doutreloux."“ Il ne peut donner une meilleure idée des conséquences du