Oldal 35 [35]
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DE LA BONNE MONNAIE Gegenwart erfreue. Können Sie das veranlassen? Bringen Sie ihn mit, denn auf Sie zaehle ich dieses Mal mit zuversicht. Die Franzosen wollen zahlreich aufmarschieren. Stellen wir aus ein respektable österreichisches Kontingent. »°' Blome constate avec justesse que contre les diverses tendances sociales chretiennes les autrichiens n’ont d’autres allies que la Tour du Pin et ses collaborateurs : «.. wir von diesen Franzosen wie der Kaiser von Russland vom Fürsten der Schwarzen Berge sprechen können : sie sind unsere einzigen Freunde. Die Deutschen Biedermaenner sind teils eifersüchtig auf uns, teils zu sehr im Borussismus befangen, um uns zu würdigen ; die Italiener verstehen uns nur halb ; die Belgier stecken mit einem Fusse im Stumpfe des Liberalismus. Nur die Franzosen vom Oeuvre sind aufrichtig, vollstaendlich offenkundig mit uns und streichen uns bei jedem anlasse heraus. Bleiben wir nicht zurück. »°° Blome a des prétentions et pour cause. L'Union de Fribourg, malgré les références préalables, avait rassemblé autour d’elle des personnages dont les idées divergeaient de l’opinion generale. Aupres de l’affaire Perin, nous pouvons citer le cas de Jean Loesewitz. Ce jeune allemand, ancien novice de la Compagnie de Jesus, agree a l’'Oeuvre des Cercles par de La Tour du Pin, a publié en 1883 un ouvrage sur les idées de Mazaroz, industriel bien connu de l'époque, dans lequel il a signalé la nécessité de la réorganisation du travail national par la concordance des intérêts de classes, soutenue par les arguments de la pratique et du bon sens. L'auteur dérive des dix-huit ouvrages de Mazaroz un « programme du socialisme conservateur, si l'on entend par ce mot de socialisme le principe opposé à Vindividualisme essentiellement révolutionnaire qui domine la société moderne... »** Le jeune abbé-rédacteur paraissait étre un théoricien du renouveau social catholique a tous ceux qui partaient de la négation simple du libéralisme. Mais Loesewitz, comme beaucoup de ses contemporaines, optait pour une sorte de socialisme d’état, mais il pensait a un Etat chrétien! Néanmoins, ses sympathies pour un certain corporatisme ne signifiaient nullement l'établissement des Berufsgenossenschaften ou d’autres unités du travail pour la conservation des structures féodales. Son désaccord a été manifesté par son départ rapide de Fribourg. Loesewitz, n'étant pas compatible avec le programme proposé et les projets de travaux, a quitté le jour même de l'ouverture l'Hôtel de Fribourg, sans avoir signé l'adresse remise au pape. Le vrai scandale explosa lors de la publication d’un article dans la Revue de l'Association Catholique.” L’incident même a été provoqué par de Mun. L'idée de fond de l’article était « que le seul remède au faux régime économique actuel... consistait à créer une organisation corporative unissant les principes qui gouvernaient les chambres syndicales de patrons et d'ouvriers et les règles qui inspiraient les conseils + 33 +
