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Cing ans plus tard Peter Janichen allait éditer le mémoire d’un autre jeune étudiant originaire de Hongrie. II sagit de Caspar Moller, de Késmark (Käsmark, Kezmarok) qui avait travaillé en 1717 sur un manuscrit de Naldo Naldi (1436-1513), conservé à Toruñ!f — une épître présentant la bibliothèque de Mathias.!” Comme il avait procédé auparavant avec le texte de Keler aussi, le recteur a élargi et continué ce que Moller avait écrit au sujet de Naldo Naldi. En 1723, il a présenté chacun des manuscrits conservés à la bibliothèque de son établissement, Voilä ce qu’il y écrit au sujet du codex Naldi : CXXXIX. Naldi Naldii Florentini descriptio Bibliothecae Budensis Serenissimi Regis Vngariae Matthiae Corvini. Ampliorem huius nitidi et multis figuris exornati codicis, qui ex ipsa bibliotheca Regia huc translatus, dedimus in dissertatione De meritis Matthiae Corvini in rem literariam.® 6 Naldi Naldii Florentini Epistola de laudibus Augustae Bibliothecae ad Matthiam Corvinum Pannoniae Regem Serenissimum. 77 Morer C. 1717 (D6érnyer-SzAvuty, RMK. III/XVIII. Nr. 1086.; Au sujet de Moller, voir Szécr 2003, Nr. 958. (Mozcer 1713 s'est inscrit en 1713). Notons qu'une personne active au début du 19° siècle, qui s’intéressait à l’histoire de la Corvina, a copié dans un même volume la dissertation de Moller et le catalogue de Julius von Pflugk (1688) (MTAK Kt. Tôrt. 4, Nr. 64.), certes, il s’est trompé sur la date du livre de Moller. Loeuvre du Pflugk en question : Prrucıus 1688. 18 JANICHEN 1723, 32. La dissertation en question est celle de Caspar Moller. 40