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Deuxiéme édition du livre de Paulus Keler par Peter Jánichen, 1731 Nous savons très peu de Paul Keler, l’auteur du traité en question. Bien que son mémoire ait été publié, son nom ne figure pas dans la matricule de l’école. On y trouve néanmoins les traces de plusieurs autres Keler de la ville de Bartfa (Bartfeld, Bardejov), tels Ephraim Keler (inscrit en 1719), Sigmund Keler (1731) et enfin Martinus Keler (1742).” Janichen qualifie Paulus Keler de « civis Thorunensis », et dans les dernières phrases de son De vineis Ungariae Ÿ il dit : « Haec quae sequuntur, de vineis earumque cultura, germanico sermone conscripta commentaria, nobiscum benevole communicavit Vir doctrina et virtute conspicuus harumque rerum gnarissimus Dn. Paullus Keler, civis Thorunensis. > Cela veut dire que Keler était originaire de la Hongrie, sa langue maternelle était l'allemand, mais il connaissait la langue hongroise aussi (contrairement à Jänichen). De sa description de la région viticole de Tokaj l’on peut obtenir des connaissances topographiques parfaitement dignes de confiance, ce qui prouve que Paul Keler avait parcouru à plusieurs reprises la région en question”. 1 Szöcı 2003 12 Szöcı 2003, Nr. 961, 968, 970. 13 JANICHEN 1731, 256. 4 JANICHEN 1731, 255-256. 15 DÖRNYEI-SzÁávuty, RMK III/XVIII, 2005, Nr. 829. 39